Point de presse de Bergevin | Le DG du CH revient sur sa gestion du développement de KK

C’est aujourd’hui que le directeur général du Canadien Marc Bergevin rencontre les médias pour revenir, entre autres, sur le dossier Jesperi Kotkaniemi et sur l’acquisition de Christian Dvorak.

Rapidement, le DG du CH a été honnête en reconnaissant que de laisser Kotkaniemi plus longtemps en Finlande après l’avoir repêché aurait peut-être été la bonne décision à prendre. Cependant, il indique que c’est facile de repenser à tout ça quelques années plus tard.

Il défend sa décision à l’époque en parlant du très bon camp d’entraînement qu’avait connu KK à l’époque. Il avait aussi connu une bonne première moitié de saison. Il semblait prêt.

Concernant l’offre hostile des Hurricanes de la Caroline pour le jeune joueur de centre, Bergevin a parlé de quelque chose qui était tout simplement démesuré. Ça ne cadrait pas dans le plan du CH de s’aligner sur un tel montant. Il aurait aimé gardé KK, mais pas à ce prix.

Il y a bel et bien eu des discussions avec les Canes pour une possible transaction, mais le prix reçu en retour de Kotkaniemi était, selon les dires du DG, moins que ce qui a été reçu via l’offre hostile.

La possibilité de faire l’acquisition de Christian Dvorak a évidemment facilité sa décision de laisser aller le Finlandais. Bergevin a beaucoup vanté le talent du nouveau venu à Montréal.

Le grand manitou du Canadien a admis être à l’aise avec une ligne de centres composée de Suzuki, Dvorak, Evans, Poehling et Paquette pour commencer la saison.

Appelé à commenter la suspension de Logan Mailloux dans la OHL, Bergevin a indiqué que le plan allait être suivi. Le défenseur continuera de s’entraîner et devrait être de retour avec les Knights de London en janvier…

Le DG des Habs a également confirmé, dans le dossier Shea Weber, que l’équipe ne nommera pas un nouveau capitaine.

Concernant la rumeur qui circule sur une prolongation de contrat qui lui serait donnée, Bergevin a indiqué qu’il n’y avait rien de nouveau à signaler, niant du même coup la rumeur.