Les Canadiens gardent Joshua Roy probablement pour une raison bien précise
Joshua Roy n’a pas joué depuis le 27 mars. Avec l’arrivée d’Oliver Kapanen, qui joue du bon hockey, c’est difficile d’envisager des changements dans l’alignement. Mais pourquoi garde-t-on Joshua Roy avec les Canadiens ?
Le Québécois n’a pas vraiment montré de constance dans son jeu sur le plan offensif. C’était donc difficile de le garder dans le top 6 et Roy ne joue pas de façon à remplir un rôle comme joueur de soutien. On lui a donc préféré Michael Pezzetta, un joueur d’énergie qui a passé la majeure partie de la saison dans les gradins. Ce serait facile de réclamer que Roy retourne à Laval, mais pourtant, il demeure dans l’entourage du CH même s’il n’a pas joué depuis des semaines. Ivan Demidov étant arrivé à Montréal, ça se bouscule encore dans l’alignement et Roy ne sera clairement pas mis de l’avant.
Lorsque je regarde certaines équipes reposer des joueurs dans l’alignement lorsque leur place en séries est assurée, je ne peux m’empêcher de penser que le CH risque de faire pareil. On attend seulement que la place en séries soit assurée afin de reposer Joel Armia, qui serait blessé à la main. Certaines informations circulent aussi à l’effet que Jake Evans ne serais pas à 100% également. Enfin, on a Emil Heineman qui pourrait profiter des deux derniers matchs de la saison pour prendre du repos. Son style de jeu demeure éreintant et en séries, il devra être à 100%.
À ce moment, pour combler les places d’Armia, Evans et Heineman pour le ou les derniers matchs, on insérera assurement Roy dans l’alignement. Pezzetta devrait aussi jouer tous les matchs advenant une confirmation des séries.
Demeurera-t-il avec le CH pour les séries ? La question demeure. Le Rocket bénéficierait de son apport, mais d’un autre côté, on n’a vu aucun complexe en offensive depuis que Roy n’est plus à Laval. Visiblement, l’attaquant québécois se trouve dans un genre de «no-man’s land» au sein de l’organisation. Les chaises qu’ils pourraient occuper sont de moins en moins vacantes et Roy ne réussit pas à saisir ses occasions de convaincre les entraîneurs.
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